- risque social et politique, suite à quelques diffusions et parutions malencontreuses...
- risque pays, suite au changement de situation depuis notre dernier voyage en Egypte
- risque de foule touristique compacte
La grande préoccupation locale est plus de trouver du client et de faire tourner la "machine". Le risque peut être plus fort dans d'autres régions ou zones, où certaines "rivalités" persistent. Voir: http://www.diplomatie.gouv.fr/fr/conseils-aux-voyageurs/conseils-par-pays/egypte
La foule n'était en outre pas au rendez vous en cette fin septembre/ ce début octobre:
- il fait encore chaud de 11h à 15h (35 à 40°C)
- pas de vacances scolaires
- climat médiatique négatif
Et donc, égoïstement, un grand bonheur: des sites qui pouvaient faire jouer leur magie, car ne débordant pas de centaines de touristes. A la vallée des Nobles et à la vallée des Artisans: nous étions pratiquement seuls, donc en meilleure communion avec les lieux et la représentation des dieux.
Le seul danger véritable ressenti: l'odeur d'essence dans un des premiers taxis pris, qui était un Peugeot 504 "hors d'âge". Nous avons ensuite inspecté les taxis, avant même denégocier.
Le deuxième: l'intoxication au CO ou au CO2, en étant dans l'axe des bateaux à quai, au bord du Nil, qui font fonctionner les moteurs pour alimenter les générateurs d'électricité....
A part cela, rive gauche comme rive droite, bien différentes, ont été fabuleuses, notamment par la richesse, voire la profusion de dessins, de décorations signifiantes dans les temples et dans les tombes, et par leur monumentalité.
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