Le "choc" esthétique et émotionnel à Louxor a été pour moi plus fort que dans les environs sud du Caire (les pyramides) ou Assouan et environs, visités juste avant la "Révolution" et à peu près simultanément avec le séjour de François FILLON, alors Premier Ministre.
En effet, la multitude de dessins, symboles et écritures, la finesse du trait, la beauté des couleurs ne peuvent qu'émerveiller ceux qui n'ont pas prévu de "faire Louxor en une journée".
Même si elles sont plus "lourdes" que les colonnes grecques ou romaines, quelle créativité dans la forme des colonnes. Et quelle joie de s'y trouver en très petit nombre: moins d'humains que de colonnes en cette saison et cette année (et à cette heure matinale), ce qui semble rare.
Dans les tombes ou dans les salles sombres des temples, la révélation de la foultitude des détails grâce à la lampe de poche, fort utile, remplit d'aise. Il n'y a pas qu'Isis qui flatte l'Iris.
Ce qui frappe notamment l'oeil: les couleurs conservées. Il appert que ces sites ont été en grande partie ensevelis pendant des siècles, d'où leur état.
On se sent forcément un peu Tintin ou Indiana Jones (on a l'imaginaire que l'on peut), quand on pénètre dans les tombes isolées, et aux abords pas toujours bien visibles.
mardi 30 octobre 2012
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